| Sujet: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. Jeu 17 Mai - 10:49 | |
| ✿Astoria Salamandra Greengrass✿
Je suis né(e) un 23 Juillet 1996 dans la jolie ville de Cambridge. Si tu sais calculer tu devineras que je suis âgé de 16 ans. Aujourd'hui, et même depuis ma naissance, je suis un Sang-Pur. Dans la vie je suis en 6ème année. En général je suis plus attiré par les hommes ♥. En ce moment je suis libre comme l'air. Mon joli personnage est créé par le forum. Il est inspiré de Harry Potter.
Ici présentation du caractère de ton personnage en minimum 10 lignes.
Ici présentation de l'histoire de ton personnage en minimum 25 lignes.
Ici parle toi de nous, de qui tu es, de ce que tu aime, bref de tout et de n'importe quoi.
- Exemple de rp :
« Hm… Qu’est-ce qu’il y a ? » Je lève la tête et me rend compte que je me suis endormie sur mes croquis. Enfin mes ébauches. Comme je n’avais pas réussi à m’endormir la nuit dernière, je m’étais assise à mon bureau et avait commencé à dessiner. Après avoir dessiné ma mère, ma sœur, mon frère, mon père, Eden, et plein d’autres, j’ai essayé de dessiner le frère d’Eden. Ilyas. Dont je suis amoureuse et que je n’ai jamais réussi à dessiner parfaitement. Je n’ai jamais su pourquoi j’ai toujours eu du mal à le dessiner que ce soit avant ou maintenant. On sonne encore une fois à ma porte. Perdue dans mes pensées, je n’y avais plus pensé. Je me lève vite de ma chaise et me rend compte que je suis en chemise de nuit plutôt courte : Tant pis… Je suis certainement incroyablement décoiffée et j’ai des cernes mais je m’en fiche. J’ouvre la porte et tombe sur un…Facteur ? Il a l’air étonné de me voir dans cet état. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Je suis désagréable le matin. Surtout quand je suis réveillée de force. « Euh… Vous êtes bien Mademoiselle Crawford ? » Je hoche doucement la tête, sans rien dire. « Vous avez reçu un colis, Mademoiselle, vous devez signer ceci. » Il me tend un stylo avec ce que je dois signer. Je signe en vitesse, prend le colis et ferme la porte sans même un au revoir. Je suis de mauvaise humeur et alors ? Je suis comme je suis, personne ne me changera jamais. Je jette un œil au colis. C’est un colis de ma mère. Mais pourquoi ?... Soudain je me rappelle : J’avais fait promettre à ma mère de m’envoyer de nouveaux carnets de croquis et des nouveaux crayons, pastels, et tout ce dont j’avais besoin pour dessiner. « Merci, Maman. » Tandis que je sortais tout du colis, je découvris une enveloppe assez épaisse. Je lâchai les affaires de dessin pour prendre la lettre : Eden ! Pourquoi m’envoyer une lettre alors qu’on se téléphone tous les jours ? J’ouvre l’enveloppe, intriguée. Il y a une vingtaine de photos : De nous petites, d’elle et de son frère, de ma famille, de sa famille et de nos familles. Et aussi des gens de la patinoire que je vois encore parfois. Il y a aussi des lettres : Une de mon ancien coach, une de mon frère, une de ma sœur, une du frère d’Eden et une de ma sœur de cœur. Je les lues toutes en une demi-heure à peu près. A la fin de ma lecture, j’avais les larmes aux yeux, pourtant je n’étais pas triste, j’étais heureuse justement. Et j’avais une indescriptible envie de dessiner. Mais pas enfermée chez moi, dehors. Il faisait chaud depuis quelques temps à Santa Ana et c’était merveilleux. Je me préparai aussi vite que je pus et lorsque j’eus enfin décidé entre mettre une petite robe d’été couleur saumon ou un dos-nu kaki avec un mini-short en jean, d’ailleurs j’optai pour ce dernier, je préparai mes affaires de dessin ainsi qu’une serviette de plage.
Installée sur la plage, lunettes de soleil sur la tête ; Ce n’était pas pratique pour dessiner de les avoir sur les yeux alors… Les jambes un peu repliée de façon à pouvoir dessiner à mon aise, je dessinais un les plagistes autour de moi. Je m’appliquai comme d’habitude et mes lèvres se tordaient en un petit rictus, signe que je me concentrais fortement sur ce que je faisais. J’avais souvent vu ma mère avoir les mêmes mimiques que moi lorsqu’elle dessinait. Au bout d’un moment, mon dessin terminé mais pas encore colorié, je le remis dans mon sac et commença à dessiner ma famille. Quand j’étais une petite fille, j’avais tellement vu de photos de cette époque que je n’eus aucun mal à la rappeler à mon esprit. Mes traits de crayons étaient fins pour que je puisse effacer s’il le fallait. Alors que j’arrivai au bout de mon croquis, une petite voix me fit sortir de ma ‘transe’. « C’est joli. » Je levai la tête et découvrit un petit bonhomme de quatre-cinq ans, quelque chose comme ça. Il était assis sur un ballon et regardait mon croquis. Je souris au petit garçon. Mais, il était tout seul ? « Merci, bonhomme. Mais… » Je n’eus pas le temps d’en dire plus qu’il enchaina avec une proposition plus qu’étonnante. « Mamie aussi fait des dessins comme toi. Dis, tu veux jouer avec moi et mon papa ? » Moi aller jouer avec lui et son papa ? D’ailleurs en levant la tête, je vis son père arriver. Je ne répondis pas au petit garçon étant donné que son père était déjà près de lui. « Désolé ! Il est un peu trop curieux… et parle beaucoup… Allez viens chéri, on va arrêter d’embêter cette dame. » Haha. Comme s’il me dérangeait. Je ne connaissais pas beaucoup de monde depuis que j’étais arrivée à Santa Ana et ce petit garçon était tellement mignon. « Non. Ne vous excusez pas, votre fils ne me dérange absolument pas. » Avant que son père ne réponde, le garçon reprenait la parole. Il parla d’abord à son père puis revint à moi. « Mais… attends papa ! C’est ma copine. Tu viens jouer alors ? » Je suis sa copine ? J’eus un petit sourire, c’était facile de devenir l’ami de quelqu’un quand on était petit, quand on grandissait ça devenait plus compliqué. Je lui enviais presque son innocence. Une innocence qui finira par disparaitre pour laisser apparaitre un beau jeune homme, j’en étais persuadée. Mais il était encore très jeune, il avait bien le temps. Comme je ne répondais pas, c’est son père qui prit la parole mais à mon attention cette fois. « C’est comme vous voulez. S’il le faut, j’vais noyer cette crapule plus loin ! » Je lâchai un petit rire. Mon rire s’intensifia lorsque j’entendis la réponse de l’enfant. Il n’avait vraiment pas la langue dans la poche ce petit là ! Il avait toujours cette spontanéité et cette innocence d’enfance. Comme j’aurais voulu moi aussi redevenir une enfant, sans problèmes de cœur, sans problèmes tout court en fait. Ma vie aurait pu être meilleure mais elle aurait pu être pire j’en conviens. J’étais venue dans cette ville dans un but bien précis : Celui de recommencer ma vie. Mais il y a des choses que notre cœur n’oublie pas : Ma chute ruinant ma carrière de patineuse, mes sentiments pour le frère d’Eden. Ces deux choses étaient celles qui étaient le plus profondément ancrées dans mon esprit et dans mon cœur. Celles dont je n’avais jamais parlé à personne. « Désolé du dérangement, mademoiselle… » Avant que je ne puisse faire un geste, il s’était éloigné. Pas très loin, ils n’étaient qu’à quelques mètres. L’enfant jouait avec un chien en rigolant et courant un peu partout. Dans un sens, il était comme moi. Je le couvai des yeux sans vraiment m’en rendre compte, un sourire attendri sur les lèvres. Soudainement, j’arrachai le croquis que j’étais en train de faire, le posa à côté de moi et me mit à dessiner frénétiquement le garçonnet s’amuser avec l’animal. Il fallait que je le dessine ! C’était presque comme une fièvre démente qui vous prend comme ça d’un coup et à laquelle vous ne pouvez échapper. Mes traits étaient précis et fins pourtant mes gestes étaient rapides, plus que tout à l’heure du moins. Ceux qui me regardaient, s’il y en avait, devaient me prendre pour une folle, bonne à enfermer mais je m’en fichais royalement. Il fallait que je le dessine. De temps à autre, je jetai un coup d’œil à l’enfant pour rendre mon dessin aussi réaliste que possible. Lorsque le croquis fut terminé, je cherchai en vitesse les crayons de couleurs, les pastels que j’avais emporté avec moi. Il ne me fallut pas plus de cinq minutes pour terminer de colorier le croquis. Je l’éloignai de moi pour mieux le voir, je faisais toujours ça dès que j’avais terminé et là, j’étais plutôt contente de moi. Contente et intriguée par cette fièvre qui s’était emparée de moi tout d’un coup avant de disparaitre aussi vite qu’elle était arrivée. Mais qu’est-ce que j’allais faire de ce dessin ? Je n’avais pour habitude de garder que les croquis représentant quelque chose de réellement indispensable dans ma vie, ceux qui comptaient le plus pour moi, ma ville natale ou des choses comme ça. Ici j’avais dessiné un enfant dont je ne connaissais rien. Tournant la tête parce que je me sentais observée, j’interceptai le regard du père de l’enfant et sourit. Voilà à qui j’allais donner ce dessin et s’il ne le voulait pas, tant pis. Je serai alors obligée de le jeter. Rassemblant toutes mes affaires dans mon sac, je me levai, le dessin en main et m’approchai de l’homme avec un sourire. Je jetai un coup d’œil à son gamin qui continuait de jouer tranquillement avec le chien. « Désolée de vous déranger alors que vous souhaitez certainement être tranquille mais je n’ai pas pu résister à l’envie de dessiner votre fils en train de jouer avec, je suppose, votre chien. Mais comme je n’ai pas pour habitude de garder les dessins que je fais s’il ne s’agit pas d’endroits de mon passé, j’aimerais bien vous le donner. » D’une main hésitante, je lui tendais le dessin. Il paraissait surpris de mon attitude mais je n’y pouvais rien. Dès qu’il eut pris le dessin, j’aurai pu repartir mais quelque chose m’en empêchait. J’avais l’impression de connaitre cet homme que je n’avais jamais vu auparavant. Soudain je sus pourquoi je pensais que je le connaissais, pourquoi il me paraissait si familier. Une femme que j’avais rencontrée il y a peu de temps, ils avaient des similitudes. La question passa mes lèvres avant même que je m’en rende compte. « Vous ne connaissez pas une femme, elle vous ressemble sur certains points et elle dessine bien, extrêmement bien. Vous avez beaucoup de similitudes avec elle mais je n’arrive pas à retrouver son nom… » Puis je me rends compte de la stupidité que je suis en train de dire. Il ne doit pas la connaitre. Ce serait une drôle de coïncidence… « Désolée… » C’est le seul mot que je peux dire, le seul qui puisse exprimer à quel point je me sens mal...
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Alice Cullen ✿ MESSAGES : 105 ✿ ARRIVEE LE : 29/02/2012 ✿ CÉLÉBRITÉ : Ashley Green ✿ AGE : 17ans physiquement ✿ STATUT : Marié(e) ✿ & LES AMOURS ? : amoureuse de mon Jasper ♥ ✿ PROFESSION : accro du shopping ✿ LOCALISATION : BOUH!!! j'étais derrière toi
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| Sujet: Re: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. Jeu 17 Mai - 15:17 | |
| Bienvenue à toi Astoria et bon courage pour ta fiche.
Si tu as des questions n'hésite pas le staff est là. |
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chouk ✿ MESSAGES : 94 ✿ ARRIVEE LE : 09/04/2012 ✿ CÉLÉBRITÉ : nina constantinova dobreva. ✿ AGE : dix-huit ans. ✿ STATUT : Célibataire ✿ & LES AMOURS ? : compliqué, mon coeur balance, je ne sais qui choisir. ✿ PROFESSION : étudiante. ✿ LOCALISATION : écosse.
| Sujet: Re: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. Jeu 17 Mai - 17:17 | |
| bienvenueeee sur le forum. bon courage pour ta fichounette. |
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Renesmée Cullen ✿ MESSAGES : 256 ✿ ARRIVEE LE : 02/12/2011 ✿ CÉLÉBRITÉ : Christie Burke ✿ AGE : 16 ans ✿ STATUT : Célibataire ✿ & LES AMOURS ? : Jacob Black ♥ ✿ PROFESSION : Etudiante ✿ LOCALISATION : Fort Augustus, Ecosse Liens :
| Sujet: Re: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. Jeu 17 Mai - 19:05 | |
| Bienvenue parmi nous Astoria J'espère que tu te plairas et prendras du plaisir Si tu as la moindre question nous sommes là pour toi^^ Bonne chance pour la suite de ta fichette |
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Renesmée Cullen ✿ MESSAGES : 256 ✿ ARRIVEE LE : 02/12/2011 ✿ CÉLÉBRITÉ : Christie Burke ✿ AGE : 16 ans ✿ STATUT : Célibataire ✿ & LES AMOURS ? : Jacob Black ♥ ✿ PROFESSION : Etudiante ✿ LOCALISATION : Fort Augustus, Ecosse Liens :
| Sujet: Re: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. Lun 25 Juin - 17:42 | |
| Bonsoir Astoria,
Où en es-tu dans ta fiche? Sans nouvelle de toi d'ici une semaine tu seras supprimé. Tu peux demander un délais si tu le souhaites.
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| Sujet: Re: Astoria ♦ Il y a un seul plaisir, celui d'être vivant, tout le reste est misère. | |
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